Collection Fantasme. Comment Aurais-Je Pu Prévoir DAller Jusque-Là (1/1)
7, 8 ou 9.
Impossible de le dire.
7, 8 ou 9 verges noires qui depuis que jai suivi Bamba font de moi leur chienne.
Mais commençons par le début.
La chance de gagner un ordinateur car nous sommes les gagnants dun billet mis dans une urne dans une société de vente de produits multimédiat.
Jétais venue pour acheter un casque à mon fils pour quil écoute ses musiques débilent moi qui suis fan de Sardou ou Bruel en passant par Berger et Pagny, pardon rien que des hommes, Céline, France Gall ou Marguerite Duras.
La dernière jexagère un peu.
Mais pour être plus précise, cet ordi à décidé de mamener vers ces bites qui me déchirent me faisant hurler de plaisir et me couvrant de sperme.
Javais 12 ans quand un jour à la piscine, je suis entrée dans une cabine de douche commune pour enlever le chlore ayant une odeur qui mindispose séchant sur ma peau.
Le verrou était au vert donc libre alors je suis entrée tombant sur une verge noire dont je suis dans limpossibilité de dire si elle était grande ou petite.
Lhomme se masturbait et jai refermé très vite avant daller me rhabiller et quitter ce lieu.
Cest la couleur noire qui ma impressionné et quand jai gagné cet ordinateur ce que jai fait cétait toujours le noir que je recherchais non la grosseur.
Brillant mon mari, épousé à 20 ans refusait ces objets modernes pour nos deux s.
Depuis leur plus tendre enfance ils ont eu droit à des jouets en bois ou des livres, même avant quils sachent lire.
Cet ordi, cest Junon mon amie qui ma formé à savoir men servir.
Junon sait tout de mes envies, de mes fantasmes.
Lépisode de la piscine et de la verge noire, elle la mainte fois entendue de ma bouche.
Javais 16 ans quand jai rencontré un garçon au lycée qui possédait cette caractéristique, black.
Il sappelait Nicolas et pendant un an jen ai été amoureuse.
Ensuite jai aimé Hamed lui aussi de couleur ébène.
Hélas, deux fois hélas, il y avait Williams mon père.
Mon père un jour au volant de sa grosse berline roulait tranquillement quand une voiture plus grosse que la sienne nous a doublés au volant duquel se tenait un black.
Il est rentré dans une rage folle et a tout fait pour le rattr.
On la vu entrer dans une belle demeure sur la colline et mon père à partir de ce jour nous disait que ces blacks venaient manger le pain des Français.
En un mot mon père était le roi des racistes et chaque fois jai préféré casser que de laffronter.
De ces deux mâles noires, je me suis refusée à l'un et à l'autre.
À 16 ans je me trouvais trop jeune et lannée suivante, voyant que je refusais de me laisser faire, Hamed est parti sans savoir que le jour où il ma largué ça aurait été son jour.
Ma peur venait de ce que disait mon père.
- Marie ramène-moi un de ces rats ici et je vous tue tous les deux.
Je savais quil avait un vieux revolver allemand datant de la guerre et quil entretenait régulièrement.
Même si cest mon père, je le savais assez fou et assez raciste pour le faire.
Et il y a eu Brillant et mes deux s pendant presque dix ans jai vécu heureuse mes fantasmes étant rentrés au rang des souvenirs.
Maintenant ayant rétabli la réalité quand lordi arrive mes fantasmes ont resurgi.
- Regarde Marie, il se met en marche en appuyant là.
- Attends, je note le signe sur ce carnet, un rond avec une barre.
Elle ma tout appris du moins le principal et dans les heures qui ont suivi je savais surfer sur le net.
Jai même fait une commande dune petite robe à fleurs que je vais pouvoir mettre dès que je laurais reçu.
Jai la chance malgré mes deux grossesses davoir gardé ma taille de guêpe.
Il faut dire quen plus de dispositions familiales jai repris le sport sur mes tapis roulants lhiver et en parc lété courant trois fois par semaine.
- Dis-moi Marie es-tu allée sur des sites où tu peux voir des queues noires, tu sais le fantasme que tu as en toi à vie et qui te bouffe la tête.
- Fais-moi voir.
Pour me faire voir, elle ma fait voir.
Les jours suivants, je me suis masturbée comme jamais et surtout quand jétais jeune lorsque mon père ma frustré me faisant refuser des compagnons noirs.
Laffaire aurait pu en rester là mais comme lon dit le destin est le destin et quand votre route est tracée vous êtes obligé de la suivre.
Vos souvenirs se réveillent un jour.
Brillant veut vous emmener voir sa vieille tante dans le quartier de Pigalle.
Elle avait fait les beaux jours des boîtes de strip-tease du coin jusquà ce que son corps lamène à trouver un boulot de placeuse dans un cinéma où passaient des films pornos.
Il sest perdu et je métais fait la réflexion que mon père serait devenu fou dans ce quartier, des noires il y en avait dix au mètre carré.
Métro « Château Rouge ».
Cest ça château rouge alors jai fini par y aller.
Je me suis promenée dans le quartier.
Je voyais le Sacré-cur au-dessus de moi.
Est-ce lui qui ma fait reculer quand jai vu un beau black entrer dans un café ou quand je suis passée jai vu que plusieurs dentre eux étaient accoudés au bar.
Jai passé mon chemin et jai repris le métro pour rentrer chez moi.
Ça trois fois, je venais, je me promenais rêvant que ces hommes que je croisais auraient pu assouvir mon fantasme.
Une verge noire au fond de ma chatte.
Mais chaque fois, je posais ma main sur la poignée de la porte du bar sans jamais oser aller plus loin.
Aujourdhui ayant reçu ma jolie petite robe, je suis sortie de la bouche de métro bien décidé à boire un café, un simple café.
Le destin a voulu que lon me parle.
- Entrez mademoiselle.
Ça fait plusieurs fois que je vous vois hésiter, vous serez la bienvenue.
Je suis entrée suivi de lhomme.
- Suis-moi.
À partir de ces deux mots, je suis dans le brouillard.
Ce que je fais, je le fais sans men rendre compte.
Même la pièce où je rentre étant un appartement accolé au bar.
Le lieu est glauque et aurait dû me faire fuir.
Mais quand Bamba sort sa verge, je sais que je vais réaliser mon fantasme et faire lamour avec un homme de couleur.
Je magenouille et cest ma bouche qui la première la reçoit.
- Cest mon frère.
Là encore, quand Bamba me prend la main et quil la pose sur une deuxième verge qui vient de se présenter à moi, je reste sans réaction mais je branle et jaspire tour à tour.
Un lit se trouve dans la pièce voisine et on my emmène.
Comment je me retrouve nue, sur ce lit, la tête dans le vide, je suis dans limpossibilité de le dire ?
Ma bouche reçoit une bite, ma chatte rasée une bouche et mes seins deux bouches.
Une main passe sous moi et un doigt entre dans mon anus.
Je suis retournée, ma bouche reçoit deux bites qui tentent de rentrer ensemble.
Je vois que jy arrive.
Avant que lon mait demandé mon avis, ma chatte est investie.
Les ressorts du matelas grincent et une bite remplit mon anus alors quune bouche rejoint ma chatte.
Une bite dans le con et une langue sur le clito, je plane.
Les bites dans ma bouche mempêchent de hurler mon plaisir surtout que lorsque je vois les deux bites noires sortir de ma bouche, cest pour finir par un râle et des giclés de foutres sur ma figure et sur mes yeux.
Une autre bite prend sa place alors que je sens que ça coule dans mon anus et dans ma chatte simultanément.
Là encore toutes ces sensations, je les vis, non je les subis mais avec plaisirs et au fil de laprès-midi on arrive à.
7, 8 ou 9.
Impossible de le dire.
Mon corps est repu de sexe et de verge noire.
Jai dû attirer la plus grande partie voire la totalité des clients du bar.
Quelle aubaine pour eux, une jolie petite blanche voulant réaliser son fantasme des bites noires leurs tombants sous la main ils en ont profité.
Ils semblent assouvis quand je reçois une dernière giclée de sperme sur la figure.
- Tient une serviette essuie-toi, jespère que tu as passé un bon après-midi pour nous tu as été parfaite.
Je te note mon téléphone, si tu veux remettre ça, appelle, je ferais venir les copains.
Je me retrouve dehors, ma chatte, mon anus, mes seins et ma bouche me faisant mal.
Quand je prends un taxi pour retourner chez moi retrouver mes s, jai du vague à lâme.
Impossible de prendre le métro, moins je vois de monde et mieux c'est.
Jai bien fait quand le chauffeur me regardant dans son rétro me passe un mouchoir en papier.
- Vous en avez encore au coin de la bouche.
Les bites blanches, vous aimez ça aussi, je suis partant, tous près dici il y a une impasse tranquille.
Je lignore et je rentre chez moi.
Je sais que cette après-midi est la seule que je passerais dans ce café mais je cache le numéro de téléphone de Bamba derrière mes chaussures dans ma boîte à souvenir.
Cest là que jai mis les dents de lait de mes s.
Trois mois, lété est là.
- Allo Bamba.
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